La transition de l’informatique au digital

La transition de l’informatique au digital

20 ans après le boum informatique des années 2000, l'entreprise est confrontée à sa transition digitale. De l’âge du software à l’ère de l’application et de la valorisation des données.

Le contexte

Dans les années 2000, les entreprises se sont équipées d’outils informatiques qui ont permis leur développement. Cette démarche a été accompagnée tant au niveau des infrastructures des systèmes d’information que d’un point de vue logiciel. Dans la majorité des cas, ces derniers étaient des clients « lourds », dans la mesure où ils étaient installés sur le poste de travail et les serveurs.

À l’époque, l’entreprise devait s’adapter au logiciel et non l’inverse. Ainsi, il a fallu multiplier les outils pour répondre à l’ensemble des besoins. Ces mille feuilles ont permis l’émergence d’un logiciel magique : Microsoft Excel ! Aujourd’hui, nous rencontrons encore des fichiers Excel qui sont des éléments clés dans certains processus stratégiques. Pourtant, nous le savons tous, cela constitue un maillon faible dans le système d’information.

De plus, les logiciels mis en place à l’époque, sont de moins en moins compatibles avec les nouveaux systèmes d’exploitation des postes de travail. Ils ne correspondent plus aux nouveaux usages de mobilité des collaborateurs. Il devient de plus en plus difficile pour les directeurs informatiques de délivrer un service conforme aux attentes des utilisateurs ce qui génère une frustration de part et d’autre.

Notre approche

Aujourd’hui, la transition digitale équivaut à un nouveau virage, une nouvelle génération informatique.

On passe du client lourd installé sur le poste de travail au logiciel en mode Saas, des serveurs installés à demeure au « cloud computing », de l’investissement aux frais de fonctionnement, des ressources matérielles dédiées aux ressources matérielles partagées avec toute une palette de technologies virtuelles.

Ce tournant a un impact fort sur l’organisation de l’entreprise et les implications sont nombreuses.
On demande :

  • Plus de dispositifs collaboratifs au sein de l’entreprise,
  • Plus d’interactions avec l’extérieur, les clients, les fournisseurs,
  • Une réponse au besoin de mobilité, de télétravail,
  • Une souplesse de mise en œuvre,
  • Une réduction des temps de déploiement, de formation, de conduite au changement.

Les applications « Web » rentrent parfaitement dans ces critères. Elles offrent en plus des API qui les rendent communicantes entre elles, ouvertes à beaucoup de situations, et qui satisfont aux particularités de chaque organisation.

Aujourd’hui, Timberlee accompagne un éditeur de logiciel dans son projet de migration de sa suite de logiciels vers des technologies « Web ». Cette mission s’inscrit dans une démarche plus globale de choix technologique et de design d’architecture finale, de formation des développeurs en place, de recrutement et de co-développement des nouvelles versions des logiciels.